І хоч «Велика сімка» обговорює широ

І хоч «Велика сімка» обговорює широку міжнародну проблематику, російсько-український конфлікт був у порядку денному не лише зустрічі за «круглим столом», а й більшості двосторонніх перемовин. Лідери Канади, Німеччини та Великобританії підтвердили важливість підтримки єдиної позиції країн G7 щодо ситуації в Україні. Вони наголосили: Росія повинна поважати і виконувати мінські угоди.
А президент Європейської Ради Дональд Туск зауважив: «Якщо хтось із присутніх хоче обговорити будь-які зміни режиму санкцій стосовно Росії, то на даний момент може йтися лише про їхнє продовження і посилення. Євросоюз, як і всі члени «Великої сімки», надалі обстоює незалежність і суверенітет України. Ідеться не про радикалізацію. Мабуть, я перший представник Євросоюзу, який сподівається, що Росія стане партнером, а не ворогом і проблемою світового масштабу. Але нині у нас немає іншого вибору», — зазначив європосадовець.
Прикро лише, що в Росії досі думають, що вона велика не лише за розміром. І навіть «прикупили» кілька екс-політиків, які заявляють, що виключення РФ з «Великої вісімки» було помилкою…

Результаты (французский) 1:

Et bien que "sept grands" aborde une vaste perspective internationale, le conflit russo-ukrainien est dans l'ordre du jour de la réunion, non seulement pour la "table ronde", mais la plupart des négociations bilatérales. Les dirigeants du Canada, l'Allemagne et la Grande-Bretagne ont réaffirmé l'importance de maintenir une position unifiée des pays du G7 sur la situation en Ukraine. Ils ont souligné : la Russie doit respecter et respecter l'accord de Minsky.Et le Président de la Conseil européen Donald Tusk a déclaré: "si quelqu'un de ceux présents voulait discuter des modifications au régime de sanctions à l'égard de la Russie, à l'heure actuelle, pouvons nous parlons seulement leur poursuite et amplification. L'Union européenne, comme tous les membres du « G7 », étayées de l'indépendance et la souveraineté de l'Ukraine. La question n'est pas sur radikalìzacìû. Apparemment, je suis le premier représentant de l'Union européenne, qui espère que la Russie deviendra un partenaire et non un ennemi et un problème dans le monde entier. Mais maintenant, nous n'avons pas d'autre choix, "a déclaré êvroposadovec′. C'est triste qu'en Russie toujours pense qu'elle est grande, non seulement dans la taille. Et même « prikupili » certains ex-politiciens qui prétendent que l'exclusion de la Russie du groupe des huit a été une erreur.

Результаты (французский) 2:

Bien que "Big Seven», aborde le large perspective internationale, le conflit russo-ukrainienne était sur ​​l'ordre du jour de la réunion, non seulement pour la «table ronde», mais la plupart des négociations bilatérales. Les dirigeants du Canada, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont confirmé l'importance de maintenir une position unifiée du G7 sur la situation en Ukraine. Ils ont souligné: la Russie doit respecter et respecter l'entente Minsk.
Un président du Conseil européen, Donald Tusk, a déclaré: «Si quelqu'un de l'auditoire veut discuter de tout changement des sanctions sur la Russie, pour le moment, nous ne pouvons parler que de leur poursuite et le renforcement. L'Union européenne, comme tous les membres de la "Big Seven", plus tard, a défendu l'indépendance et la souveraineté de l'Ukraine. Il ne porte pas sur la radicalisation. Peut-être que je suis le premier membre de l'UE, qui espère que la Russie sera un partenaire, pas un ennemi et un problème mondial. Mais maintenant nous avons pas d'autre choix "- a déclaré yevroposadovets.
Il est dommage seulement que la Russie continue de penser qu'il est non seulement de grande taille. Et même plusieurs anciens politiciens, qui prétendent que l'exclusion de la Russie du "Grand Huit" était une erreur "acheté" ...